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[Note stratégique] Enjeux stratégiques du Big Data pour la Défense

La numérisation croissante de l’ensemble des secteurs de la société a entrainé une explosion du volume de données produites et donc potentiellement exploitables. On estime que les données numériques créées en 2020 devraient représenter, au niveau mondial, un volume de 44 000 milliards de giga-octets, soit dix fois plus qu’en 2013. Les technologies classiques ne suffisent plus pour traiter de tels volumes avec, par ailleurs, des données de plus en plus hétérogènes dans leurs formats. Le « Big Data », la science de l’analyse des données (data science) et l’usage de l’intelligence artificielle (ou augmentée) – également appelés Big Data Analytics – deviennent donc les éléments essentiels de la transformation des organisations. Ils sont placés au centre de l’innovation et de l’activité économique pour faire face aux enjeux « des 3V » présentés par les données : volume, variété et vitesse.

Pour le ministère des armées, le Big Data traduit également l’accroissement du nombre et du volume des données non structurées et hétérogènes générées par la numérisation des équipements et des systèmes d’armes. Des systèmes de géolocalisation à la logistique en passant la gestion du trafic aérien ou maritime, les Armées génèrent et exploitent, dès à présent, une importante quantité de données.

Précurseur dans l’utilisation de l’intelligence algorithmique depuis les premiers ordinateurs (chiffrement, guerre électronique, calculateurs de tir, radars, missiles, etc.), la Défense peut tirer profit des technologies émergentes liées au traitement et à l’analyse des données pour améliorer non seulement l’efficacité de son organisation mais également ses performances opérationnelles dans un environnement de plus en plus « data centré ».


A propos des auteurs
Axel Dyèvre est Directeur associé chez CEIS.  Axel a commencé sa carrière comme officier. Consultant en stratégie de 1995  à 1997, il a été ensuite Senior Partner chez DATOPS (maintenant LexisNexis Business Information Solutions),  société développant des systèmes d’information de 1997 à 2005. Ayant participé à l’aventure CEIS depuis les débuts en 1997, il rejoint opérationnellement la société en 2006  et a créé CEIS-Bureau Européen à Bruxelles quil dirige depuis lors. Depuis 2013, il est également en charge du DGA Lab qu’il a mis en place (initialement SIA Lab).
Martin de Maupeou est Senior Consultant chez CEIS qu’il a rejoint en 2011. Il participe aux études et missions de conseil menées par CEIS auprès d’acteurs publics et privés de la Défense et participe également à plusieurs projets de recherche en Sécurité.
 Fleur Richard-Tixier est analyste au Bureau Européen de CEIS depuis mars 2017. Elle est diplômée d’un Master géopolitique et relations internationales de l’Institut Catholique de Paris et du Global Studies Institute de Genève.
 
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22 juin. 2017

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